Au fil des années, la situation des migrants à Calais reste toujours aussi problématique. Depuis l'an passé, les No Border ont investi une maison et gèrent depuis le quotidien des femmes et des enfants, une population vulnérable.
Boulevard Victor-Hugo, l'avenir de ces femmes et de ces enfants est toujours incertain. Le tribunal a ordonné la libération des lieux mais un accord a été convenu avec la propriétaire. Pendant de nombreuses semaines, la crainte d'une expulsion avec le concours des forces de l'ordre planait. Le préfet avait précisé qu'une expulsion de ce type était exclue. Actuellement « des discussions sont en cours avec la préfecture, avec la direction départementale de la cohésion sociale », précise un membre associatif ayant assisté aux réunions.
Des pistes diverses sont envisagées pour le relogement des habitantes de ce squat après la libération des lieux.
L'expérimentation d'une structure d'accueil qui pourrait devenir pérenne a été évoquée mais rien n'est décidé pour le moment.
Bron :Nord Littoral
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